Rapport 2021 du Groupe de travail n°2
Rapport du GT2 “Transition énergétique dans les territoires : nouvelles villes, nouveaux réseaux” de Claude ARNAUD, Bernard BOUCAULT, Cécile VAULLERIN, Liza BELLULO, présenté en vidéo par Maïlys Météreau
Rapport du GT2 “Transition énergétique dans les territoires : nouvelles villes, nouveaux réseaux” de Claude ARNAUD, Bernard BOUCAULT, Cécile VAULLERIN, Liza BELLULO, présenté en vidéo par Maïlys Météreau
Rapport du GT1 “Les énergies marines” d’Hugh BAILEY, Marc LAFOSSE et de Yaël TREILLE.
La 3ème saison du Comité de prospective de la CRE aura été marquée par deux fils conducteurs : l’industrie française et l’appropriation de la transition énergétique. Ses quatre groupes de travail présentent aujourd’hui leurs rapports. Lancée en mars 2020, cette 3ème saison aura été rythmée par les aléas de la crise sanitaire. Grâce à l’engagement de ···
Paul LUCCHESE est président du programme de coopération technologique hydrogène de l’Agence internationale de l’énergie (AIE). Ce groupe de travail, dit « TCP hydrogen », rassemble 25 pays sous la présidence française. Paul LUCCHESE est intervenu lors de la saison 3, dans le cadre du groupe de travail n°4 du Comité de prospective de la CRE sur le ···
L’hydrogène, voilà une petite molécule à qui l’on prête de grandes vertus !
Les combustibles solides de récupération sont préparés à partir des déchets ménagers résiduels non dangereux qui ne sont pas triés, tels que le bois, le plastique, le papier, le carton ou les tissus non recyclables. En produisant des CSR à partir de déchets destinés à l’enfouissement, la collectivité réduit la surface des sols utilisée par les installations de stockage de déchets, tout en les transformant en combustibles énergétiques.
En promettant, au début du mois de février, une récompense de 100 millions de dollars à qui trouverait une solution efficace pour capter et stocker le carbone (CSC), Elon Musk a replacé le CSC sous les feux de la rampe.
La comparaison économique des technologies de production d’énergie s’appuie souvent exclusivement sur les coûts directs de production. L’émergence de sources d’énergie non pilotables induit des besoins d’investissements sur les réseaux et la mise en place de dispositifs de maintien de la stabilité du système notamment électrique, pour garantir l’ajustement entre l’offre et la demande. Toutefois, les services pouvant être délivrés par les énergies renouvelables en matière de flexibilité, de participation aux services système, etc., doivent aussi être pris en compte dans le calcul économique qui vise à les comparer.
“La profondeur de la rupture que pourraient induire les technologies quantiques dans les prochaines décennies est au moins comparable à celle qui résulte de l’invention du transistor au milieu du XXe siècle.”
La capacité à prévoir les conditions météorologiques sur le court, moyen et long termes est l’un des facteurs permettant un système énergétique performant et résilient.